Au cinéma, on l’a vu défiler « En Fanfare » rejoignant ainsi ses premières amours, spectacles en patois du Nord avec trompettes et tambours. Il a tourné, il a vu du pays, tournages et tournées. Par le cinéma et par les théâtres. A travaillé avec quelques grands réalisateurs (Godard, Feret, Garel, Alain Corneau, Rivette, Tonie Marshall, Ducastel et Martineau) et poursuit une carrière au théâtre avec de nombreux metteurs en scène (Jouanneau, Sobel, Vincent, Tiago Rodriguez, Osinski…). Il se consacre aussi à la poésie et aux lectures publiques. Il a reçu en 2016 le prix Raymond Devos de la langue française et a produit une émission de poésie sur France Culture « Jacques Bonnaffé lit la poésie ». On peut ajouter à cela une activité de conteur, héritée du Nord et de jongleur verbal qui l’amènent à toutes sortes de performances.
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Comédien engagé par sa relation aux auteurs, Jacques Bonnaffé étend sa pratique artistique à des domaines variés, lectures ou concerts parlés, mise en scène, enregistrements notables, performances ou banquets littéraires, accordant à la poésie vivante, qu'elle soit dialectale ou savante, une part privilégiée. Il aime dire des auteurs contemporains parmi lesquels Jean-Pierre Verheggen, Valérie Rouzeau, Jacques Darras. Il monte aussi ses propres spectacles, au cœur desquels vibrent la langue et la poésie, patoisante érudite ou loufoque. Pendant quatre ans sur France Culture il a produit l’émission quotidienne Jacques Bonnaffé lit la poésie
Comédien et metteur en scène. (770 caractères) Originaire du Nord, Jacques Bonnaffé a fait ses armes au conservatoire de Lille et a d’abord pratiqué le théâtre amateur et le théâtre de rue avant de monter sur les planches, notamment dans Britannicus de Racine, puis Les Bas-fonds. Au cinéma, il est révélé en 1984 dans Prénom Carmen de Jean-Luc Godard. De Garrel à Jacques Rivette en passant par Tonie Marshall, René Feret, Alain Corneau…. nombreux sont ceux qui lui ont confié des rôles et il a également fait carrière au théâtre (…) il participe au premier film en tant que réalisatrice de Yolande Moreau, Quand la mer monte, récompensé par deux Césars. En 2005, il fait une incursion dans l'univers de Dominik avec Lemming, avec Agnès B aussi il tourne pour le cinema, on l(a vu dans en Fanfare d’Emmanuel Courcol
Il a une capacité têtue à faire voisiner le grand et le petit, servant avec légèreté cet aphorisme de Prévert dans Fatras : « C’est quand il n’y a pas grand monde qu’il y a grand chose »
Jacques Bonnaffé bio 460 signes : Comme comédien, il a travaillé avec quelques grands réalisateurs (Jean-Luc Godard, Philippe Garel, Alain Corneau, Jacques Rivette), et poursuit une carrière au théâtre avec de nombreux metteurs en scène (Joël Jouanneau, Jean-Pierre Vincent, Tiago Rodriguez, Jacques Osinski…). Il se consacre aussi à la poésie et aux lectures publiques. Il a reçu en 2016 le prix Raymond Devos de la langue française et a produit une émission de poésie sur France Culture.
Jacques Bonnaffé, bio 1250 signes Comédien metteur en scène et quelquefois conteur, il a été dirigé au cinéma par Godard, Tachella, Rivette, René Féret, Yolande Moreau, Tonie Marshall, Garrel, Deville, Ducastel & Martineau, Corneau, Fansten, Agnès Troublé, Martin Provost, Christian Carion, … À la télévision, Rodolphe Tissot, Michel Andrieu, Hervé Ballet, Fabrice Cazeneuve, Michel Mitrani… Au théâtre avec de nombreux metteurs en scène : Christian Rist, Gildas Bourdet, Sobel, JF Peyret, Véronique Bellegarde, Christian Schiaretti, Alain Françon, Sandrine Anglade, Didier Bezace, Jean-Pierre Vincent, Arnaud Meunier, Denis Podalydes, John Berry, Joël Jouanneau, Tiago Rodrigues… souvent dans un répertoire contemporain. Il monte aussi ses propres spectacles, où vibre la langue, se mêlent la poésie érudite, patoisante ou loufoque. Part à la rencontre des auteurs dans ses lectures publiques, banquets et performances où se côtoient jazz et littérature. Il met en scène ses projets et dirige la Compagnie faisan, Molière 2009 pour l’Oral et Hardi. Producteur d’une émission quotidienne de poésie sur France Culture, ses occupations sont multiples et changeantes. Propension à faire voisiner le grand et le petit, modifier ses plans de vols, partir à la rencontre d’expériences nouvelles.
Jacques Bonnaffé, bio 585 signes Comédien et autres troubles de l’activité de spectacle, lecteur performeur metteur en scène, habitués des expériences poétiques, théâtrales, cinématographiques. Ou radiophoniques. Il pourrait passer de rivages à d’autres allant du collectif au solo et du patois vernaculaire au français fignolé, aimant l’improvisation jazz. Il s’est singularisé dans la poésie oratoire, avec L’Oral et Hardi, sur des textes de Jean-Pierre Verheggen. Molière 2009, Prix Raymond Devos de la langue française en 2016. Il a produit une émission quotidienne de poésie sur France Culture pendant quatre ans.
Jacques Bonnaffé 1790 Signes Usant de toutes les cordes de son art, il a été dirigé au cinéma par Jean-Luc Godard, Tachella, Rivette, Corneau, Féret, Tonie Marshall, Garrel, Yolande Moreau, Michel Deville, Ducastel et Martineau, Fansten, Agnès B , Martin Provost, Carion, Courcol et d’autres... À la télévision, notamment par Fabrice Cazeneuve, Mitrani, Renard, Michel Andrieu, Hervé Baslé, Serge Meynard et Rodolphe Tissot... Au théâtre avec de nombreux metteurs en scène : J-F Peyret, Véronique Bellegarde, Didier Bezace, Sobel, Sandrine Anglade, Françon, Gildas Bourdet, Jean-Pierre Vincent, Podalydes, Christian Schiaretti, Arnaud Meunier, Nathalie Richard, Jouanneau, souvent sur un répertoire d’auteurs contemporains : Henning Mankell, Emmanuel Bourdieu, Pierre Michon, Jean-Pierre Verheggen, JC Bailly, David Lescot, Michel Vinaver... Il monte aussi ses propres spectacles, au cœur desquels vibrent la langue et la poésie, patoisante érudite ou loufoque. Il part à la rencontre des auteurs, appréciant l’intelligence et l’audace, dans de nombreuses lectures publiques, banquets (qu’il réalise avec Brigitte de Malau) et performances où se côtoient le jazz et la littérature. Il met en scène ses projets et dirige la Compagnie faisan, Molière 2009 de la compagnie théâtrale, avec laquelle il multiplie les domaines d’expérience parmi lesquels Jacques two Jacques avec Jacques Darras. L’Oral et Hardi, solo sur des textes de Jean-Pierre Verheggen, Chassez le naturel, duo-dansé à partir de textes de Jean-Christophe Bailly, 36 nulles de Salon de Daniel Cabanis.. Ses implications sont nombreuses, et non exclusivement réservées aux champs prestigieux. Une capacité à faire voisiner le grand et le petit, mettant à l’épreuve cet aphorisme de Prévert : « C’est quand il n’y a pas grand monde qu’il y a grand chose. »
Comédien flottant dans un costume trop large (alternant théâtre cinéma revues patoisante et poésie) aimant faire rire par dessus le marché ! Ayant eu la chance d’effectuer son baptême des planches à Douai où entre la rue les ducasses, la saison culturelle L’hippodrome, on ne manquait pas de théâtre. Formé à l’école des tréteaux ( la Comédie du Beffroi, Les clowns du p'tit chapeau), puis à Lille au conservatoire, il a vite travaillé dans des troupes régionales et d’autres, à ne plus savoir compter. A fini par plutôt bien tourner, au cinéma et au théâtre, avec des maîtres (de toutes tailles), aura beaucoup appris de ses pairs et des poètes du Nord. Une vraie belle carrière avec des rechutes régulières à ses premières amours : flonflon / patois. Est-ce qu’il aime est-ce qu’il s’en moque ? On ne sait pas mais c’est pour la vie !!